Toune de la semaine.
Bonjour et voici maintenant l'heure des tounes de la semaine.
Bon pour cette semaine, je vais vous présenter une chanson qui s'intitule, Tu es pris au piège et une autre qui s'intitule, Le début de l'école. La première, je l'ai composé en revenant d'un p'tite ride sur l'autoroute qui m'avait coûté cher$$$!!! La seconde m'est venu après avoir réalisé que tout mes meilleurs chums partaient pour Sherbyville pis que ceux qui me restaient n'étaient pas du tout sur le même horaire que moi.(À l'exception de toi Drizzt et de tout mes nouveaux amis(es)).
1.
Tu es pris au piège
Yé 5 heures du matin,
Tu ne vois pas au loin
La pédale au tapis
Tu veux voir ton lit.
Sur ton compteur
On ne vois pas d’heure
Plutôt des miles à l’heure
On est parti en peur
L’aiguille sur le 130
Il est temps de se détendre
Avant de te faire prendre
Trop tard, la police te hante
Tu es pris au piège
Ton cœur palpite
Ton portefeuille s’allège
Et tu chies sur ton siège
Une palpitante conversation
Suivie d’une hostie de contravention
C’est la raison de cette chanson
Que nous chanterons à l’unisson
Après s’être défouler
Sur ta personne, qui est sa banque
Le flic s’en est retourné
Pour se cacher dans sa planque
De nouveau seul sur la route
Une idée brouille tes pensées
Celle qui te d’mande d’appuyer
Suivie d’une qui sème le doute
Tu es pris au piège
Ton cœur palpite
Ton portefeuille s’allège
Et tu chies sur ton siège
Alors la raison
D’la poche gauche du pantalon
Crie alors à ton cerveau
Que la prudence prévôt
Plusieurs mois se sont passé
Oubliant cette vieille idée
Celle qui devrais nous guider
Non nous faire déconner
À nouveau sans ta raison
Oubliant la prévention
Le pieds encore dans l’tapis
Tu dois dire que tu es pris
Tu es pris au piège
Ton cœur palpite
Ton portefeuille s’allège
Et tu chies sur ton siège
2.
Le début de l’école
Des amis on en a pour la vie
De jour en jour leur nombre grandi
Certains restent d’autres partent
Parfois on les quittes
Mais ce qui est le plus dur
C’est que tout comme dans la nature
Comme un arbre verdoyant
À l’automne, nous les perdons tranquillement
Et là, débute les saisons mortes
Celles qui cognent à notre portes
Et qui ne nous pousse en rien
À affronter nos lendemain
Le début de l’école
Où le feuille s’envole
Pour d’autre municipalités
Nous laissant dénudé
Comme l’hivers passant
Le moral descends
Voyant que nos camarades
Seront là que pour l’eau d’érable
Parfois pour ne pas sombrer
Nous migrons vers nos chumer
Pour une semaine ou une journée
Pour ne pas les oublier
Puis arrive le printemps
Les arbres repoussent
L’école n’a plus de temps
Ils reviennent à la rescousse
Notre moral reviens
Tous comme le feuillage
Pour créer un chic paysage
Et nous rappeler à quoi on tiens
Puis le cycle se perpétue
Temps que chacun
N’ai pas atteint son but
Il y aura ce refrain inopportun
Le début de l’école
Où le feuille s’envole
Pour d’autre municipalités
Nous laissant dénudé
Bonne lecture et j'espère que vous aprécierez!
Dernière modification le 22/10/2003 @ 17:59
Écrit le: 23/10/2003 @ 22:08
J'adore lire ca tu as vraiement du talent!

continu à écrire c,est vraiment kewl