Actions











Toune de la semaine.

Écrit le 22/10/2003 @ 17:58 par LicheRelish

ArtsBonjour et voici maintenant l'heure des tounes de la semaine.

Bon pour cette semaine, je vais vous présenter une chanson qui s'intitule, Tu es pris au piège et une autre qui s'intitule, Le début de l'école. La première, je l'ai composé en revenant d'un p'tite ride sur l'autoroute qui m'avait coûté cher$$$!!! La seconde m'est venu après avoir réalisé que tout mes meilleurs chums partaient pour Sherbyville pis que ceux qui me restaient n'étaient pas du tout sur le même horaire que moi.(À l'exception de toi Drizzt et de tout mes nouveaux amis(es)).

1.
Tu es pris au piège

Yé 5 heures du matin,
Tu ne vois pas au loin
La pédale au tapis
Tu veux voir ton lit.

Sur ton compteur
On ne vois pas d’heure
Plutôt des miles à l’heure
On est parti en peur

L’aiguille sur le 130
Il est temps de se détendre
Avant de te faire prendre
Trop tard, la police te hante

Tu es pris au piège
Ton cœur palpite
Ton portefeuille s’allège
Et tu chies sur ton siège

Une palpitante conversation
Suivie d’une hostie de contravention
C’est la raison de cette chanson
Que nous chanterons à l’unisson

Après s’être défouler
Sur ta personne, qui est sa banque
Le flic s’en est retourné
Pour se cacher dans sa planque

De nouveau seul sur la route
Une idée brouille tes pensées
Celle qui te d’mande d’appuyer
Suivie d’une qui sème le doute

Tu es pris au piège
Ton cœur palpite
Ton portefeuille s’allège
Et tu chies sur ton siège

Alors la raison
D’la poche gauche du pantalon
Crie alors à ton cerveau
Que la prudence prévôt

Plusieurs mois se sont passé
Oubliant cette vieille idée
Celle qui devrais nous guider
Non nous faire déconner

À nouveau sans ta raison
Oubliant la prévention
Le pieds encore dans l’tapis
Tu dois dire que tu es pris

Tu es pris au piège
Ton cœur palpite
Ton portefeuille s’allège
Et tu chies sur ton siège

2.
Le début de l’école

Des amis on en a pour la vie
De jour en jour leur nombre grandi
Certains restent d’autres partent
Parfois on les quittes

Mais ce qui est le plus dur
C’est que tout comme dans la nature
Comme un arbre verdoyant
À l’automne, nous les perdons tranquillement

Et là, débute les saisons mortes
Celles qui cognent à notre portes
Et qui ne nous pousse en rien
À affronter nos lendemain

Le début de l’école
Où le feuille s’envole
Pour d’autre municipalités
Nous laissant dénudé

Comme l’hivers passant
Le moral descends
Voyant que nos camarades
Seront là que pour l’eau d’érable

Parfois pour ne pas sombrer
Nous migrons vers nos chumer
Pour une semaine ou une journée
Pour ne pas les oublier

Puis arrive le printemps
Les arbres repoussent
L’école n’a plus de temps
Ils reviennent à la rescousse

Notre moral reviens
Tous comme le feuillage
Pour créer un chic paysage
Et nous rappeler à quoi on tiens

Puis le cycle se perpétue
Temps que chacun
N’ai pas atteint son but
Il y aura ce refrain inopportun

Le début de l’école
Où le feuille s’envole
Pour d’autre municipalités
Nous laissant dénudé



Bonne lecture et j'espère que vous aprécierez!

Smile

Dernière modification le 22/10/2003 @ 17:59

Commentaire par Believe  Score: 0
Écrit le: 23/10/2003 @ 22:08

J'adore lire ca tu as vraiement du talent!

continu à écrire c,est vraiment kewl Up


Toutes les entrées dans les journaux personnels
<< All work and no play makes Drizzt a dull boy | Retour au journal | Je me rappelle plus du nom... >>
Entrées journal du même auteur
<< Toune d'`la s'maine | Marie Joana me fait tripper!! >>